Le trafic automobile constitue la principale source de pollution de l’air surtout dans les grandes villes. Voilà un problème de taille, car les voitures sont indispensables au monde moderne. Toutefois, quelques solutions peuvent être adoptées pour réduire la pollution des voitures.
L’application d’une conduite apaisée
Cette règle impose la vitesse autorisée à 50km/h maximum dans les centres-villes. Cette solution admet une double portée. D’un côté, elle vise à améliorer la sécurité routière. Et de l’autre côté, cela conduit à réduire la pollution de l’air en poussant les utilisateurs à opter pour les modes de transports moins polluants comme le vélo voire même la marche notamment pour les déplacements de proximité.
L’application d’une conduite apaisée implique aussi la réduction des accélérations brutales et les freinages soudains. De plus, cela permet aussi d’économiser du carburant et par conséquent de réduire l’émission d’azote et de particules. De cette façon, on préserve activement notre fameuse couche d’ozone.
L’interdiction des véhicules polluants
De nombreuses villes européennes ont recours à cette solution pour réduire la pollution de l’air occasionnée par les voitures. Le but est d’instaurer une zone à faible émission. En effet, il faut admettre que certains modèles de voitures sont plus polluants que d’autres. C’est la vignette collée sur le pare-brise qui renseigne les policiers sur la catégorie d’émission du véhicule.
La conséquence directe à cette politique de restriction est l’incitation au renouvellement du parc automobile. Actuellement, le diesel se place à la première position des moteurs les plus polluants. Le mérite de la voiture la plus propre revient à la voiture électrique qui est de plus en plus lancée par les concepteurs automobiles. De plus, cette gamme de voitures est appréciée pour son défaut de bruit. Mais, le problème avec la voiture électrique est qu’elle ne s’adapte pas aux longs trajets bien qu’elle soit économique et écologique.